Études supérieures numériques ou informatiques : une porte d’entrée vers l’entrepreneuriat et / ou les startups !
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Quand on évoque la question des études supérieures, on aborde fréquemment la question des opportunités offertes à celles et ceux se spécialisant dans le développement informatique, la Cybersécurité ou encore le marketing digital. En revanche, un autre critère peut guider les étudiantes et les étudiants dans leur choix : les opportunités de travailler différemment. Que ce soit en créant sa propre entreprise ou en décidant de rejoindre une startup, une entreprise pas vraiment comme les autres, les étudiants aspirent à suivre leurs envies et leurs ambitions. Pourquoi ? Comment ? L’Institut F2i lève le voile sur ces questionnements récurrents.
Quand tes études supérieures te préparent à affronter les nouvelles exigences du marché du travail !
Tu réfléchis à ta prochaine orientation post-bac, ou tu es déjà engagé dans tes études supérieures. Dans tous les cas, tu es conscient des évolutions profondes, qui impactent le marché du travail. Les nouvelles exigences de ce dernier sont du reste au cœur de tes apprentissages tout au long de ton parcours de formation. Le domaine du salariat ne représente plus la seule et unique voie pour les jeunes diplômés. La société, dans son ensemble, vante depuis plusieurs années les atouts de l’entrepreneuriat, alors que dans le même temps ce dernier a pris de nouvelles formes, principalement avec l’accélération de la transformation numérique. Les startups constituent ainsi des pôles d’attractivité pour celles et ceux, qui étudient pour participer aux missions reposant sur ces innombrables innovations, qui élargissent le champ des possibles.
Les plus jeunes générations sont également séduites par des succès stories récentes, que ce soit Uber, Blablacar ou encore Doctissimo. En d’autres termes, les étudiants en 2025 disposent de multiples choix pour envisager leur insertion dans la vie active. Si le salariat continue d’attirer les experts numériques ou informatiques, de plus en plus de jeunes diplômés privilégient avant tout une voie différente, que ce soit en créant leur propre activité ou en rejoignant des entreprises innovantes, parmi lesquelles les start-ups s’imposent avec force.
Indépendance ou dynamisme ? Liberté ou polyvalence ? Quelles sont les aspirations des étudiants d’aujourd’hui ?
Sous l’égide de l’Observatoire de la création d’entreprise de Bpifrance Création, l’IFO réalise régulièrement un sondage visant à qualifier et quantifier l’indice entrepreneurial Français (IEF). Il en ressort, que depuis plusieurs années, les jeunes âgés de 18 à 30 ans constituent le véritable moteur de la dynamique de création – reprise d’entreprise sur l’ensemble du territoire. Ces jeunes y sont deux fois plus présents que leurs ainés. Ainsi, l’IFOP estime que plus de la moitié de la classe d’âge (18-30 ans) est impliquée, à un degré ou à un autre, dans l’entrepreneuriat. Pourquoi ?
D’un côté, les étudiants d’aujourd’hui sont conscients, que leur avenir professionnel leur imposera de changer une (pou plusieurs fois) de métier. Faire carrière au sein d’une même entreprise représente désormais une exception. Le salariat traditionnel ne fait donc plus rêver les jeunes générations, d’autant plus que sociologiquement parlant, les jeunes générations prêtent davantage d’importance aux principes et aux valeurs de leur employeur que leurs aînés. L’image de marque employeur est devenu un nouveau critère de sélection quand il s’agit de signer son premier contrat, après l’obtention de son diplôme.
Pour ce qui concerne les indépendants et les free-lances, force est de constater, que se lancer après des études supérieures dans la création de son propre emploi n’a jamais été aussi facile. D’un autre côté, les métiers de l’informatique et ceux du Web répondent également à de nouveaux besoins des entreprises. Des besoins ne nécessitant pas toujours un recrutement mais exigeant le recours à un expert reconnu dans le domaine de spécialisation concerné. Développement Web, UX ou UI Design, marketing numérique, …. Les coachs, conseillers indépendants et autres experts free-lance répondent donc à ce nouveau paradigme des acteurs économiques.
Pour ce qui concerne les start-ups, ces dernières attirent les jeunes talents par leur dynamisme et leur promesse de polyvalence. L’organisation agile de ces acteurs innovants conduit les spécialistes à travailler en équipe en mode projet de façon quasi-permanente. Le bouillonnement d’idées conduit à devoir dépasser ses seules compétences et à s’ouvrir aux autres aspects, que peuvent impliquer tel ou tel projet de développement.
Ces nouvelles voies pour s’insérer sur le marché du travail attire de plus en plus de jeunes diplômés, d’autant que leur parcours de formation les a souvent aidés à renforcer les compétences clés nécessaires à leur réussite.
Quelles compétences pour oser l’entrepreneuriat ou tenter l’aventure des Start-ups ?
Comme nous l’avons déjà souligné ci-dessus, les métiers du numérique s’inscrivent davantage encore dans ces nouvelles tendances. Pouvant être occupés à distance, ils bénéficient en outre des innombrables innovations techniques, avec l’émergence constante de nouveaux outils destinés à faciliter la conduite de projets.
Pourtant, que ce soit pour un étudiant inscrit en mastère Architecte Web ou un futur diplômé du BTS MCO (Management Commercial Opérationnel), les ambitions d’indépendance doivent pouvoir s’appuyer sur des compétences indispensables pour réussir, tant dans la création d’entreprise que dans son intégration d’une start-up.
Les compétences professionnelles, à proprement parler, restent essentielles, mais elles sont acquises grâce au parcours de formation de chacune et de chacun. En revanche, se lancer dans l’entrepreneuriat nécessitera rigueur et organisation, reposant avant tout sur une parfaite maitrise globale de l’environnement de l’entrepreneuriat. En d’autres termes, les compétences transverses représentent ici plus qu’un atout mais bien un véritable prérequis. Il en sera de même pour rejoindre une startup, dont l’objectif se concentre dans le développement rapide (voire ultra-rapide) de valeur. Chaque collaborateur doit être à la fois reconnu pour son expertise (niveau et contenu de la formation initiale) et acteur de ce bouillonnement permanent d’idées.
Enfin, aspirer à profiter de ces nouvelles tendances du marché du travail nécessite également d’adopter et de maitriser les nouveaux outils et les nouveaux modes d’organisation. Du management et méthode agile à l’organisation même des services de l’entreprise, les jeunes sont formés, quel que soit leur cursus, à travailler en équipe de manière plus collaborative et sans être freiné par une organisation pyramidale de l’entreprise. Ces changements sont notamment rendus possibles par la digitalisation de nos économies.
Choisir des études supérieures pour conforter son aspiration à l’entrepreneuriat !
Liberté, innovation, polyvalence, défis techniques, … les motivations sont donc nombreuses pour les étudiantes et étudiants. Force est de constater, que s’engager dans des études numériques répond parfaitement à ces aspirations nouvelles. En revanche, il ne suffit pas de s’inscrire à l’Institut F2i pour consolider ses motivations et ses envies. Au-delà des prérequis évoqués ci-dessus (compétences professionnelles reconnues, appréhension globale de l’écosystème maitrise du travail en mode projet, … ), les jeunes diplômés ambitionnant de se lancer dans l’entrepreneuriat et / ou dans l’aventure d’une startup se doivent d’être flexible et adaptable. Ils doivent avoir fait leur preuve concernant leur capacité d’adaptation à des environnements différents, leur capacité de flexibilité à des conditions de travail différentes. Cela ne se traduit pas par un diplôme ni même par un titre certifié au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP). Cela exige un parcours attestant sans conteste de ces qualités. C’est pourquoi, choisir d’étudier en alternance représentera un atout supplémentaire pour faire la différence, tant pour convaincre les futurs partenaires (investisseurs, fournisseurs, …) dans le cas de la création d’une entreprise que pour satisfaire aux attentes des créateurs d’une startup.
